Algérie : Le SIPA-2015 du 1er au 4 octobre prochain à Oran

Algérie : Le SIPA-2015 du 1er au 4 octobre prochain à Oran

sipa-2015La Chambre algérienne de la pêche et de l’aquaculture organise du 1er au 04 octobre 2015, au Centre de conventions d’Oran, la 6ème édition du Salon international de la pêche et de l’aquaculture (SIPA-2015).

L’événement qui regroupera un nombre important d’exposants tant nationaux qu’étrangers, se veut une opportunité pour informer les opérateurs et les investisseurs sur les nouveautés des filières de la pêche et de l’aquaculture à travers le monde.

Selon les organisateurs, SIPA-2015 sera « une occasion pour l’émergence d’opportunités d’investissement et la maturation de projets, dans le cadre d’un partenariat durable, créateur de richesse et d’emploi ». « Ce salon vise à renforcer et à valoriser la stratégie menée pour un développement durable de l’économie de la pêche et de l’aquaculture en Algérie », indique la chambre algérienne de la pêche et de l’aquaculture.

Cette édition, ayant pour thème «Pour une contribution effective des filières de la pêche et de l’aquaculture à la diversification de l’économie nationale », la chambre algérienne de la pêche et de l’aquaculture, fait savoir qu’il s’agira d’un espace de débat, de concertation et d’échange d’expériences entre les différents acteurs économiques nationaux et étrangers.

En Algérie, le secteur de la Pêche a bénéficié, ces dernières années, d’un intérêt particulier de la part des pouvoirs publics, à travers le schéma directeur de développement des activités de la pèche et de l’aquaculture. En effet, l’organisation du dit salon confirme l’importance qu’accorde l’État algérien à ce secteur porteur pour son économie.

Selon les prévisions de la FAO, citée par l’organisation de SIPA 2015, à l’échelle mondiale indiquent que l’importance de la production issue de l’aquaculture, par rapport à celle issue de la pêche, est de plus en plus marquée, passant de 12% en1990 à 23% en 1997. On estime qu’en 2010 elle était supérieure à 35%, pour atteindre les 50% à l’horizon 2025.

Martin Levalois

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