Casablanca Finance City première place boursière en Afrique

Casablanca Finance City première place boursière en Afrique

cfcLa première place boursière en Afrique, Johannesburg vient d’être détrônée par Casablanca Finance City (CFC) qui vient d’être classée, cinq ans après sa création, première place boursière en Afrique, par le Global Financial Centers Index (GFCI).

Sur le plan mondial la place financière marocaine de Casablanca occupe la 33ème position, d’après le dernier classement publié ce mardi à Londres, par le GFCI, un indice de référence des centres financiers internationaux.

«Nous sommes heureux que CFC, ait réussi aujourd’hui à prendre la tête des places financières africaines», a commenté Said Ibrahimi, CEO de Casablanca Finance City. « Cela nous encourage à travailler davantage pour améliorer notre offre en permanence pour faire de CFC une place financière régionale reconnue sur le plan international», a-t-il ajouté.

D’après son dernier classement, le GFCI considère la CFC comme la 3ème place la plus prometteuse au monde derrière Singapour et Shanghai et surtout devant des places de renommée internationale, telles Milan ou Bruxelles.

Depuis son lancement, Casablanca Finance City a réussi à attirer une centaine de multinationales ayant choisi d’opérer en Afrique à partir de la capitale économique du Royaume du Maroc. Parmi les groupes ayant obtenu le statut CFC, il y a Ford, AIG, Bank Of China, BNP Paribas, Abraaj ou encore le Boston Consulting Group.

A cette échelle mondiale, c’est Londres qui arrive en tête de ce classement, devant New York, Singapour et Hong Kong. Parmi les autres places financières qui se maintiennent dans le top dix, figurent celles de Tokyo, Zurich, San Francisco et Toronto.

Le GFCI permet d’établir un classement des places financières en fonction d’un critère principal : leur compétitivité. Il se base pour cela sur deux sources de données, l’une externe, qui agrège et intègre 105 indices de compétitivité parmi lesquels ceux de la Banque mondiale, du WEF, de l’ONU ou de l’OCDE.

Martin Levalois

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *