G20 et son espoir d’une forte reprise économique
« Pour que la reprise soit durable, nous devons poursuivre les programmes de relance existants, tout en œuvrant à créer les conditions d’une demande privée solide ; En même temps, les évènements récents soulignent l’importance de finances publiques viables et la nécessité pour nos pays de mettre en place des programmes de viabilité budgétaire crédibles, convenablement échelonnés et favorables à la croissance, qui seront différenciés et adaptés aux situations nationales »
C’est avec cette conclusion que sortirent les pays du G20, lors d’un sommet qui avait eu lieu à Toronto le samedi 26 juin ; qui réunit, bien évidemment, les pays les plus industrialisés ou en d’autres termes les pays qui pèsent 80% du commerce mondial, et qui essayent toujours de résoudre les problèmes qu’avaient causé la crise, et s’assurer même qu’une telle crise ne se reproduise plus.
La première chose sue laquelle ils comptent agir est les plans de réduction des déficits, qui jusque là représente le plus grand cauchemar de l’Europe, et qui devront être adaptés selon les conditions particulières de chaque pays, afin d’éviter de nuire la reprise économique.
En second plan les pays du G20 s’engageront à diviser par deux le déficit public rapporté à leur produit intérieur brut d’ici 2013.
Le projet de taxation des établissements financiers sera également mis en vigueur par certains pays à savoir la France, l’Allemagne et la Grande-Bretagne ; par lequel ils entendent sauver leurs banques de la crise.
Donc, le sommet du G20 a mis en place plusieurs réformes à travers lesquelles ces pays espèrent relancer leurs économies, et connaitre une reprise économique forte qui sera capable de leur faire oublier les grands dégâts causés par la crise.
Afaf Nassiri