Un Salon pour décentraliser les investissements étrangers en Algérie

Un Salon pour décentraliser les investissements étrangers en Algérie

salon-b-i-algerieD’aujourd’hui lundi 28 mars au mercredi 30 mars 2011 se tient dans le quartier de Ihaddaden dans la ville de Béjaïa le premier Salon international de l’investissement et du partenariat avec pour thème central la promotion et le développement des investissements productifs dans cette région de tourisme par excellence.
Ce Salon est le fruit de l’initiative de Béjaïa-Invest Algérie (BIA) avec la collaboration de la Chambre de commerce et d’industrie de la Soummam et la contribution des organismes internationaux comme la CGPME (Rhône), Only Lyon (France) et l’Unifrance.

Ce salon sera l’occasion de mettre en relation d’affaires les principaux acteurs économiques et administratifs de la région et les investisseurs potentiels internationaux. Son principal objectif est l’orientation des investisseurs potentiels dans les créneaux économiques retenus à cet effet, tout en leur faisant découvrir les grandes opportunités économiques qu’offre l’Algérie en général, et la région en particulier en termes de partenariats, d’investissements et de création de richesses. Ce Salon se présente ainsi comme une occasion de décentralisation de la promotion économique, actuellement concentrée dans le centre du pays et sa capitale Alger, et donc d’ouverture de nouveaux horizons aux investisseurs étrangers.
Plus de 20 firmes étrangères ont confirmé leur participation. En parallèle à ce Salon de l’investissement et du partenariat, la Chambre du commerce et de l’industrie de Béjaïa organise la « 4ème édition du salon de la PME-PMI, Béjaïa, capitale économique », une autre occasion pour les sociétés les plus importantes de la région de montrer leurs compétences et leurs spécificités. De nombreux secteurs comme l’agroalimentaire, l’environnement, l’industrie, le tourisme ou encore la pêche seront à l’honneur.
Pleinement conscient des avantages des investissements étrangers, le gouvernement algérien a mis en place une politique de facilitation qui s’accompagne d’une nette volonté de décentralisation.

Martin Levalois

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