Les leaders d’Africa 2.0 se donnent rendez-vous au Mozambique
Le Symposium Annuel du Leadership d’Africa 2.0 est organisé du 24 au 26 novembre courant à Maputo, sous le thème : «La Synergie : Ensemble plus forts », avec pour objectif de montrer qu’à travers nos partenariats, nous pouvons être plus rapides, plus forts et meilleurs grâce à une collaboration efficace.
Cette rencontre qui marque le 5ème anniversaire de ce symposium, verra le lancement de « Youth Employment and Empowerment Programme », ou le « programme d’autonomisation et d’emploi des jeunes d’Africa 2.0 ».
Africa 2.0 lancera également son partenariat avec We Think Code (qui apprend aux jeunes Africains à programmer), et examinera des thèmes critiques tels que comment inciter davantage de femmes à se tourner vers la science et la technologie comment la technologie peut propulser l’Afrique vers la transformation et en particulier l’aider à surmonter les défis qu’elle doit relever.
Dans un communiqué, les organisateurs indiquent qu’une place sera réservée aux femmes et un atelier leur sera dédié sous le thème : «les femmes comme moteurs du changement ».
« Garantir une allocation de ressources efficace aux femmes africaines pour leur permettre d’accéder aux soins de santé, ainsi qu’examiner le rôle des femmes dans les activités de consolidation de la paix et s’attaquer aux obstacles rencontrés par les femmes entrepreneurs », fait parti des objectifs.
Dans le domaine agricole, le thème est « Agro-entreprises : parvenir à la sécurité alimentaire par l’agro-entreprise ». Le programme Africa 2.0 « No Hunger » sera lancé au cours de cet atelier, et des représentants de Dangote et de la FAO examineront comment des agro-entrepreneurs éleveurs peuvent soutenir le développement africain de manière durable. Nous évaluerons également comment les gouvernements ont respecté les engagements de la Déclaration de Maputo en affectant des fonds aux agro-entreprises.
Ces domaines font tous partie du Manifeste Africa 2.0, un document compulsé par les organisations de soutien, et ratifié par des Institutions telles que l’Union Africaine et plusieurs Chefs d’État, pour combler l’absence d’une vision commune et harmonisée pour la jeunesse du continent.